Le langage chorégraphique des deux pièces, l'Afrique et les Antilles pour muse, s'appuie sur des répertoires musicaux traditionnels et contemporains. Cette danse évolutive, cadrée par une forte rigueur culturelle et gestuelle, sert une histoire où drame et comique de situation se côtoient à chaque pas. Une éclatante joie de vivre, de danser et de ressentir, à l'image de Difé Kako, "quelque chose qui chauffe" en créole. Quelque chose qui s'offre aussi: de l'auditorium des Halles à Paris au Centre Chorégrahique National de Nancy et de Josef Nadj à Orléans, depuis 1997, le public, conquis, se prête au partage.

Aski Parè :
Mardi 19, mercredi 20, jeudi 21, vendredi 22 octobre à 20h
dimanche 24 octobre à 16h

Kakophonies :
Jeudi 21, vendredi 22 octobre à 21h30
Tarifs de 10 à 15 euros