Deuxième pièce d'une trilogie, qui traite de l'identité humaine dans le contexte de l'apartheid et du colonialisme mondial, On the 12th night of never, I will not be held black s'attaque à la notion de contrôle. Ici, il s'agit de retrouver son espace personnel. Reprendre le contrôle de son corps, qui est pris en otage par la société, empêchant la réalisation de ses aspirations. Démanteler, réduire à zéro l'univers partagé. Sortir de la vision mondiale du corps que l'on nous impose, pour revenir à sa vision personnelle.