« L'histoire de l'Afrique subsaharienne est la plus ancienne et la plus longue du monde. A ce titre, les sommets qu'elle a connus, parce que lointains, échappent à la conscience claire des africains, qui ne peuvent les réinventer dans les enjeux contemporains. D'où l'importance d'une « histoire critique » qui seule peut aider l'Afrique à ne pas manquer une fois de plus le rendez-vous du monde tel qu'il va ». Face à la mondialisation, le professeur Ki Zerbo propose un nouveau départ : « il faut bâtir de nouvelles cohérences entre les étages de la pensée et de l'action individuelle et collective,c'est à dire de la vie »