En 1952, en Tunisie, c'est le soulèvement général afin de secouer le joug du colonialisme, la résistance tunisienne, bien qu'avec des moyens de fortune, tient en échec la politique colonialiste et saura administrer la preuve aux yeux du monde que le pays est mûr pour la liberté. Aux actions des fellaghas et aux courageux actes de terrorismes de nos vaillants et valeureux résistants; les forces colonialistes répondent par des ratissages et des assassinats d'hommes politiques nationalistes. Une organisation terroriste (La main rouge) formé de colons et de policiers assassine le leader syndicaliste Farhat Hached. Le 18 janvier 1952, Bourguiba est arrêté. Dent pour dent, œil pour œil, une organisation Tunisienne (La main noire) entre en action. Les agissements antipatriotiques de Azzedine Bey, l'héritier du trône qui espérait une éventuelle investiture a la place du Bey régnant sont choquantes, Hédi Ben Jaballah, un jeune patriote exécuta le prince scélérat, il fut arrêté sur le champs, et condamné à la peine de mort.