Cet ouvrage apporte un éclairage inédit sur deux aspects de l'architecture en pays Bamiléké au Cameroun : instrument clé de la domination d'une élite dirigeante, mais aussi, articulation de l'identité individuelle dans un premier temps, puis dans un second, lieu de démarches subversives et de contre-récits qui ont culminé dans la violence des années cinquante.